Quels sont les meilleurs quartiers où loger à Okinawa pour un premier séjour?

Pour un premier voyage au Japon et plus particulièrement dans l’archipel d’Okinawa, le choix de votre hébergement est crucial. L’île d’Okinawa offre une variété d’options selon que vous recherchiez l’animation urbaine, les belles plages ou la proximité avec la nature. Les premiers visiteurs devraient considérer trois zones principales: Naha, Onna et Motobu. Chacune de ces régions possède ses avantages spécifiques qui en font des destinations les plus prisées pour séjourner à Okinawa. Ces quartiers constituent une excellente base depuis laquelle explorer toutes les merveilles naturelles et culturelles que l’archipel a à offrir. Un séjour bien planifié vous permettra de profiter pleinement des attraits uniques d’Okinawa, qu’il s’agisse de son riche patrimoine historique ou de ses paysages paradisiaques.

Naha: la capitale dynamique, idéale comme base pour visiter Okinawa

Naha, la capitale animée de la préfecture d’Okinawa, représente le choix le plus pratique où séjourner à Okinawa pour ceux qui découvrent l’île pour la première fois. Cette ville vibrante offre toutes les commodités que vous pourriez souhaiter, avec de nombreux hôtels pour tous les budgets, une excellente infrastructure de transports en commun et une variété d’attractions culturelles. Le célèbre Château de Shuri, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, se trouve à seulement quelques minutes du centre-ville et constitue un incontournable de votre séjour. L’artère principale, Kokusai Dori, est parfaite pour faire du shopping et découvrir la gastronomie locale. La plage de Naminoue, située en pleine ville, vous permettra de vous rafraîchir tout en profitant d’une vue sur la mer de Chine orientale. Naha sert également de hub pour organiser des excursions vers d’autres parties de l’île principale d’Okinawa. Grâce à ses connections de transport efficaces, vous pourrez facilement partir à la découverte d’Okinawa World, un parc culturel populaire, ou planifier des visites vers les zones plus éloignées comme Nago au nord.

Onna: une station balnéaire parfaite pour les belles plages

Si vous rêvez de vous réveiller avec une vue sur la mer exceptionnelle, Onna est sans doute l’un des meilleurs endroits où loger à Okinawa. Cette station balnéaire, située sur la côte ouest de l’île principale, est réputée pour ses plages de sable blanc immaculées et ses eaux cristallines qui en font un paradis pour les amateurs de farniente et d’activités nautiques. Les complexes hôteliers luxueux d’Onna offrent un accès direct aux plus belles plages de l’île, où vous pourrez pratiquer le snorkeling parmi des récifs coralliens colorés. À seulement 30 minutes de la plage de Kouri, célèbre pour son pont spectaculaire, Onna constitue une base idéale pour explorer la côte pittoresque d’Okinawa. Les hébergements de cette zone proposent généralement des chambres spacieuses avec vue sur la mer, ainsi que des installations comme des piscines à débordement et des spas où vous pourrez vous détendre après une journée d’exploration. Bien que plus touristique que certaines parties de l’île, Onna offre un équilibre parfait entre confort, beauté naturelle et proximité des attractions, ce qui en fait une destination de choix pour séjourner à Okinawa, particulièrement pour les couples et les voyageurs en quête de détente.

Motobu: idéal pour les familles et les attractions naturelles

Motobu se distingue comme l’endroit idéal pour les familles souhaitant visiter Okinawa avec des enfants. Cette péninsule au nord-ouest de l’île principale abrite l’Aquarium Churaumi, l’une des attractions les plus impressionnantes d’Okinawa. Cet aquarium de renommée mondiale, qui présente la fascinante vie marine de la région, dont des requins-baleines majestueux, constitue une expérience inoubliable pour les visiteurs de tous âges. Les hébergements à Motobu offrent généralement un excellent rapport qualité-prix, avec des options allant des hôtels familiaux confortables aux pensions plus intimes. La région est également appréciée pour ses plages de sable blanc moins fréquentées que celles des zones plus touristiques du sud. Après avoir exploré l’aquarium, vous pourrez vous aventurer jusqu’à la plage de Nirai ou profiter des nombreuses possibilités d’excursions nautiques proposées dans le secteur. La péninsule de Motobu offre également de magnifiques paysages naturels avec des sentiers de randonnée qui vous permettront d’observer la riche biodiversité d’Okinawa. Pour les familles cherchant où se loger à Okinawa, Motobu représente un équilibre parfait entre attractions éducatives, beauté naturelle et atmosphère détendue, loin de l’agitation des zones plus urbanisées.

Où séjourner à Naha pour un bon rapport qualité-prix?

Naha, en tant que capitale d’Okinawa, propose une gamme variée d’hébergements pour tous les budgets. Pour obtenir le meilleur rapport qualité-prix lors de votre séjour à Okinawa, plusieurs quartiers de Naha méritent votre attention. La ville combine l’avantage d’offrir des prix plus compétitifs que les stations balnéaires tout en permettant un accès facile aux principales attractions. Que vous privilégiez la proximité avec les sites historiques, l’animation du centre-ville ou une vue apaisante sur la mer, Naha dispose d’options d’hébergement qui sauront répondre à vos attentes sans vider votre portefeuille. L’accessibilité aux transports en commun constitue également un atout majeur pour économiser sur vos déplacements lors de votre séjour. Voici les trois zones les plus intéressantes où dormir à Okinawa pour ceux qui recherchent un équilibre entre confort et budget.

Les quartiers proches du Château de Shuri

Les quartiers situés à proximité du majestueux Château de Shuri représentent une excellente option où loger à Okinawa pour les voyageurs soucieux de leur budget mais désireux d’accéder facilement au patrimoine culturel de l’île. Cette zone résidentielle plus calme que le centre-ville offre des hébergements à prix raisonnables, souvent dans des établissements de taille modeste où vous pourrez découvrir l’hospitalité okinawaise authentique. Le principal avantage de séjourner près du Château de Shuri est la possibilité de visiter ce site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO tôt le matin ou en fin de journée, évitant ainsi les foules de touristes. Les chambres dans cette partie de Naha sont généralement plus spacieuses que dans le centre, offrant un meilleur confort pour un prix similaire. De plus, vous trouverez de nombreux restaurants locaux proposant des spécialités régionales à des tarifs bien plus abordables que dans les zones plus touristiques. La ligne de monorail Yui reliant Shuri au centre-ville de Naha vous permettra de vous déplacer facilement vers d’autres attractions comme Kokusai Dori ou le port pour des excursions vers les îles environnantes. Cette combinaison de tranquillité, d’immersion culturelle et d’accessibilité fait des environs du Château de Shuri l’un des meilleurs endroits où séjourner à Okinawa pour les voyageurs culturels avec un budget limité.

Kokusai Dori: le centre touristique avec tous les transports en commun

Kokusai Dori, surnommée « la rue internationale », constitue le cœur battant de Naha et représente une option stratégique où loger à Okinawa pour les visiteurs privilégiant la centralité et la commodité. Cette artère animée regorge d’hôtels de différentes catégories offrant un excellent rapport qualité-prix, particulièrement pour les voyageurs souhaitant rester connectés à l’effervescence urbaine. L’un des principaux avantages de séjourner à Kokusai Dori est l’accès immédiat à tous les transports en commun: la station de monorail Makishi est à proximité, et les principaux terminaux de bus se trouvent à quelques minutes de marche, vous permettant de visiter Okinawa sans contrainte. Les chambres dans cette zone peuvent être légèrement plus petites que dans d’autres quartiers, mais la praticité compense largement ce léger inconvénient. Après une journée d’exploration, vous apprécierez de pouvoir faire du shopping dans les nombreuses boutiques environnantes, déguster la cuisine locale dans les restaurants traditionnels, ou vous immerger dans l’ambiance des izakayas. Le marché public de Makishi, véritable institution culinaire, se trouve également à deux pas et vous offrira un aperçu fascinant de la gastronomie okinawaise. Pour les voyageurs à la recherche d’un hébergement central permettant de maximiser leur temps de découverte avec un budget raisonnable, Kokusai Dori représente indéniablement l’un des meilleurs quartiers où loger lors de votre séjour à Okinawa.

Les hébergements avec vue sur la mer de Chine orientale

Pour les voyageurs désireux de combiner les avantages urbains de Naha avec le charme d’un panorama maritime, les hébergements offrant une vue sur la mer de Chine orientale constituent une option de choix où séjourner à Okinawa. Ces établissements, souvent situés dans les quartiers ouest de la ville comme Tomari ou près de la plage de Naminoue, proposent un cadre plus reposant tout en restant à proximité des commodités de la capitale. La valeur ajoutée d’une vue sur l’océan peut légèrement augmenter le tarif des chambres, mais de nombreux hôtels de gamme moyenne offrent ce privilège sans pour autant atteindre les prix des complexes hôteliers de luxe des stations balnéaires. Les couchers de soleil spectaculaires que vous pourrez admirer depuis votre balcon justifient amplement ce petit supplément. Ces hébergements sont généralement équipés de toutes les commodités nécessaires et proposent souvent des services additionnels comme la location de vélos ou l’organisation d’excursions nautiques. La présence du port à proximité facilite également l’accès aux ferries desservant les îles périphériques de l’archipel d’Okinawa. Pour les voyageurs qui souhaitent profiter d’un réveil face à l’horizon marin sans sacrifier la praticité de la ville, ces hébergements avec vue sur la mer de Chine orientale représentent un excellent compromis et un rapport qualité-prix intéressant pour votre séjour à Okinawa.

Ressource utile :

https://loger.fr/okinawa/

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Introduction

Quand on s’intéresse au Japon et qu’on y a voyagé plusieurs fois, on cherche souvent à se procurer des objets difficilement trouvables en dehors du Japon. Ça a été mon cas, surtout pour la cuisine. Je voulais pouvoir reproduire en France des plats typiquement japonais. Ce ne sont pas des objets indispensables, mais ils peuvent être utiles dans la vie quotidienne. Je vous présente dans cet article une petite liste d’objets japonais que l’on peut acheter en France.

Cuiseur de riz

Je me sers de mon cuiseur à riz plusieurs fois par semaine. C’est vraiment un appareil électroménager indispensable pour moi. Il est capable de cuire plusieurs types de riz, le riz blanc, brun, court ou long grain. Mais aussi d’autres ingrédients comme le yaourt, les légumes, de la soupe… Le riz étant la base de mon alimentation, j’avais besoin d’un bon cuiseur capable de bien cuire le riz sans qu’il ne perde de sa saveur. J’ai personnellement deux cuiseurs de riz, un petit que j’ai ramené du Japon et un que j’ai acheté en ligne en France.

Bols à soupe ou à ramen

Quel plaisir de déguster un bon bol de ramen quelle que soit la saison ! Si vous voulez préparer des plats japonais (ou asiatiques en général), vous aurez besoin de bols pour soupes. Vous en trouverez avec des motifs et des contenances variés, notamment des petits bols pour y mettre du riz.

Hot pot

Pour cuisiner certains plats comme le shabu-shabu (ou fondue japonaise), vous aurez besoin d’un hot pot. C’est une grande marmite permettant de bouillir des légumes et de cuire de la viande. Il en existe avec un grill au milieu pour snacker de la viande ou des champignons.

Poêle pour tamagoyaki

Cette poêle carrée est idéale pour préparer des omelettes en plusieurs couches. Si vous avez chez vous des plaques à induction, pensez à bien choisir une poêle compatible. Les tamagoyaki peuvent garnir vos bento ou être posés sur du riz pour en faire un sushi.

Toilettes japonaises

S’il y a bien un objet dont je ne pourrais plus me passer, ce sont les toilettes à la japonaise ! Dès que je les ai essayées lors de mon premier voyage au Japon, j’ai su que j’en voudrais chez moi un jour ! Siège chauffant, jet d’eau nettoyant avec température réglable, séchoir, LED UV stérilisante, etc… Énormément d’options sont disponibles pour un confort optimal. Vous pouvez acheter la toilette complète ou juste la cuvette qui va s’adapter à votre toilette.

Conclusion

Si vous aimez vous servir de certains objets qui sont très utilisés au Japon, vous avez de quoi faire ! Surtout si vous êtes intéressés par la cuisine, la déco et autres équipements pour la maison. Il existe d’autres objets typiquement japonais qui sont encore difficilement achetables depuis la France. En tête de liste : le kotatsu ! Je rêve de pouvoir me procurer cette table chauffante japonaise pour me réchauffer l’hiver. Il y a aussi les hanten, ou les vestes matelassées que l’on porte en intérieur afin de se maintenir au chaud. J’avais réussi à m’en procurer 2 en ligne il y a quelques années, mais il semble difficile d’en trouver de bonne qualité. Bref, il y a encore des tas d’objets japonais que j’aimerai pouvoir posséder. Mais en attendant de voyager de nouveau au Japon, il y a beaucoup d’alternatives possibles pour ajouter une touche de Japon à votre quotidien !

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Voyager seul au Japon – Guide

Faire un voyage seul au Japon est une expérience unique qui permet une immersion totale dans la culture japonaise. Cet article vise à fournir des conseils pratiques et des informations essentielles pour les voyageurs solo souhaitant découvrir ce pays fascinant. En suivant ces conseils, vous pourrez maximiser votre plaisir et minimiser les inconvénients, tout en profitant pleinement de votre aventure en solo.

 

Voyager seul au Japon : définir ses attentes

Comprendre les avantages et les défis

• Avantages : liberté totale, flexibilité, rencontres authentiques.
• Défis : sentiment de solitude, barrière de la langue.

Voyager seul au Japon présente plusieurs avantages comparé au voyage en groupe. Tout d’abord, le voyageur solo possède une liberté totale dans tout ce qui concerne son séjour. Il peut fixer la durée de son séjour, le choix des hôtels, l’itinéraire et le prix qu’il souhaite mettre sur son voyage. Les voyageurs solo profitent d’une plus grande flexibilité et sont moins contraints de faire les mêmes circuits, plus adaptés aux groupes qui tournent souvent uniquement sur les villes touristiques. 

Néanmoins, voyager seul présente également de nombreux défis à ne pas négliger. En premier lieu, il faut savoir gérer la solitude. Le Japon est un pays très propice aux activités en solo. Que ce soit pour manger avec les restaurants très étroits plus adaptés pour les personnes seules, les randonnées ou les excursions sportives où vous pouvez aller à votre rythme. Vous ne vous ennuierez pas durant votre voyage tant il y a de choses à faire et à découvrir. La barrière de la langue représente aussi un défi de taille, surtout quand on voyage seul. Si vous le pouvez, apprenez quelques phrases simples en japonais pour pouvoir échanger avec les Japonais. 

 

Fixer ses objectifs de voyage

Chaque personne a sa vision du voyage et ses attentes concernant celui-ci. Certains voyageurs sont plus intéressés par l’aspect culturel, la visite de temples et de sanctuaires, les quartiers historiques, la contemplation de sites naturels. D’autres aussi par la gastronomie, les activités plus relaxantes comme les onsen, les séjours dans de beaux ryokan. Il peut être intéressant de planifier son voyage selon ses objectifs, mais il n’est pas nécessaire de le faire de façon rigide pour se faire plus de liberté. 

 

Préparer son voyage solo

Formalités et documents

Pour voyager au Japon comme dans beaucoup de pays, vous aurez besoin de votre passeport. Celui-ci doit être valide au moment de votre entrée sur le territoire japonais. Pour un voyage touristique, un visa n’est pas nécessaire. Vous pouvez rester un total de 90 jours pour faire du tourisme au Japon. Faire la traduction de son permis de conduire peut être intéressant pour conduire au Japon et vous rendre dans des endroits plus isolés et difficiles d’accès. 

 

Budget et finances

Généralement, voyager seul au Japon revient plus cher que lorsqu’on est à plusieurs. C’est pourquoi il vaut mieux prévoir ses dépenses, sauf si on a un budget illimité, bien sûr. Se nourrir au Japon est plutôt très abordable, certains types de logements également. Le transport, les hébergements traditionnels et certaines activités prennent une plus grosse part dans le budget voyage. 

Le cours du yen est en train de remonter actuellement, mais il reste très avantageux pour les détenteurs d’euros. Prévoyez du liquide pour régler au Japon, même si de plus en plus de commerces acceptent la carte bleue.

 

Assurance voyage

On peut se retrouver confronté durant son voyage, où que ce soit dans le monde, à des imprévus ou des dangers plus ou moins graves. C’est pourquoi, bien que non obligatoire, il peut être intéressant de souscrire à une assurance voyage. Les principales garanties présentes dans les contrats d’assurance sont la prise en charge de frais médicaux, le rapatriement en cas d’urgence, l’assurance pour les bagages, entre autres. Vous pouvez vérifier avant de souscrire que vous ne possédez pas déjà ces garanties dans des assurances et services que vous payez déjà (carte bleue, responsabilité civile…).

 

Quel hébergement pour un voyageur solo ?

Types d’hébergement

Auberges de jeunesse

Plusieurs types d’hébergement s’offrent à vous lorsque vous voyagez au Japon, selon vos préférences et le prix que vous souhaitez y mettre. Les hébergements les moins chers quand on est seul sont les auberges de jeunesse. Le prix varie entre 18 et 30 euros la nuit environ à Tōkyō. Les chambres sont composées de dortoirs avec des lits superposés et toutes les pièces à vivre sont communes. Le confort y est plus rudimentaire que dans des hôtels classiques, mais le prix y est souvent plus avantageux. Les auberges de jeunesse sont aussi l’occasion de rencontrer d’autres voyageurs et de partager de bons moments conviviaux. 

 

Hôtels capsule

Les hôtels capsules ont aussi des dortoirs composés de beaucoup de lits, mais qui sont des tubes encastrés dans le mur. Ceux-ci peuvent être séparés de l’extérieur par un rideau ou une petite porte coulissante. L’hôtel capsule est adapté aux voyageurs solo et à de courts séjours. On peut y trouver des installations telles que des onsen ou sento, des saunas, des restaurants, etc. Le prix varie entre 20 et 50 euros la nuit en moyenne à Tōkyō.

 

Hôtels à l’occidentale

Les hôtels classiques à l’occidentale sont généralement plus confortables, mais aussi plus onéreux, tout particulièrement lorsque l’on voyage seul. La gamme de prix est très variable selon les prestations et le standing de l’hôtel. Les hôtels qui ont des chambres séparées verrouillées présentent une sécurité plus importante pour les voyageurs et leurs affaires. 

 

Ryokan

Si vous désirez passer une nuit ou deux dans un hébergement plus traditionnel, vous pouvez opter pour un ryokan ou une auberge japonaise. Généralement, les ryokan sont des hébergements proposés pour un minimum de deux personnes, mais il est possible d’en trouver pour une personne. Les chambres sont spacieuses avec le sol en tatami et vous dormez sur des futons au sol. Les ryokan proposent souvent la demi-pension avec petit déjeuner et dîner. On y trouve également des onsen communs et les plus luxueux proposent même des onsen privatifs dans la chambre. Là aussi, le prix varie selon les ryokan mais cela se compte en plusieurs centaines d’euros la nuit.

Vous pouvez trouver tous ces types d’hébergement sur des sites comme Booking. Réserver ses hébergements à l’avance permet d’anticiper ce que l’on va faire, son itinéraire, la ville, la localisation proche des transports, le prix. Mais parfois, notamment en solo, ne pas réserver dans certains lieux permet d’explorer librement des lieux inattendus, des coups de cœur.  

 

Quelles activités lorsque l’on voyage seul au Japon ?

Explorer les villes

• Visites culturelles : avec les temples et sanctuaires, les lieux autour de l’art, les musées, les visites de plantations de riz ou de thé…
• Shopping : dans les nombreux quartiers dédiés à la mode
• Parcs et jardins : qui sont des lieux magnifiques et relaxants présents dans tout le Japon.

 

Activités sociales

• Participer à des cours de cuisine : atelier de préparation et de découpe de nouilles, fabrication de sushi, de mochi…
• Visites guidées : autour de lieux prisés : les villes bordant le Mont Fuji, Nikko, Kamakura, Okinawa, Kyoto…
• Événements locaux : les très célèbres matsuri, la contemplation des fleurs de sakura, les feux d’artifice, le nouvel an…

 

Expériences uniques

• Onsen (sources chaudes) : que l’on retrouve dans les villages onsen comme Kusatsu Onsen, Gero Onsen ou Kurokawa Onsen. Ils sont aussi présents dans les ryokan et certains autres hôtels.
• Cérémonies du thé : un incontournable de la culture japonaise.
• Séjours dans des temples : une expérience à faire absolument pour ceux intéressés par la culture japonaise. 

Voyageur solo : Quels lieux incontournables ?

Tokyo

• Shibuya : quartier jeune et branché avec la célébrissime statue du chien Hachiko, son carrefour piéton le plus fréquenté au monde.
• Akihabara : le quartier électronique et axé sur la pop-culture japonaise.
• Asakusa : célèbre pour son temple Senso-ji, la Tokyo Skytree, la rivière Sumida avec son parc et ses commerces.

Kyoto

• Temples et sanctuaires : les temples Kinkaku-ji, Ginkaku-ji, Kiyomizu-dera, Fushimi Inari, Heian-jingu, etc…
• Gion : quartier historique de Kyoto.
• Arashiyama : avec sa forêt de bambou, son pont Togetsukyo et son temple Tenryu-ji.

Osaka

• Dotonbori : rue commerçante célèbre pour ses nombreux restaurants de mets locaux d’Osaka et ses lieux basés sur le divertissement.
• Universal Studios Japan.
• Le château d’Osaka et son parc.

Hiroshima

• Parc de la Paix : lieu empreint d’émotions qui remémore les événements tragiques de la Seconde Guerre Mondiale.
• Miyajima : île célèbre pour sa vue sur le torii flottant au large du sanctuaire Itsukushima-jinja et ses cerfs shika.

Hokkaido

• Sapporo : avec son festival de la neige, Yuki matsuri.
• Parc national de Daisetsuzan : pour des randonnées dans un cadre naturel unique et spirituel. 

 

Comment se déplacer en solo au Japon ?

Utilisation des transports en commun

• Métro
• Bus
• Trains (JR Pass) : Depuis la très forte augmentation de JR Pass, calculez bien vos frais de transport pour savoir s’il est bien rentable.
• Taxis

 

Location de vélos

• Villes adaptées au cyclisme : les grandes villes sont généralement agréables à traverser en vélo. 
• Sécurité : soyez prudent, car les voitures roulent à gauche. Il faut éviter le plus possible de rouler sur le trottoir, même si cela peut être toléré dans certaines situations. Il ne faut pas avoir bu d’alcool avant de monter sur son vélo, vous risquez de vous faire arrêter, voire expulser du pays. Sinon, ce sont les mêmes recommandations qu’en France. Évitez d’utiliser votre portable ou d’avoir des écouteurs. N’oubliez pas vos phares si vous roulez de nuit. Pensez au port du casque, même si non obligatoire au-dessus de 13 ans. 

 

Quels sont les risques lorsque l’on voyage seul au Japon ?

Sécurité générale

Le Japon est réputé pour être un pays sûr. Cependant, selon les chiffres de la police japonaise, en 2023, les délits ont augmenté de plus de 20% et les crimes de près de 30% par rapport à l’année précédente.

Néanmoins, le Japon demeure un pays où la sécurité y est élevée. Cela n’empêche pas de rester sur ses gardes. Et encore davantage lorsque l’on voyage seul, et aussi parfois pour les femmes seules. 

Même si les vols sont rares, évitez de laisser vos affaires sans surveillance. Attachez votre vélo et verrouillez votre valise avec un cadenas. 

 

Risques naturels

• Séismes
• Typhons
• Préparation et comportements à adopter : retrouvez toutes les informations sur cette page.

 

Santé et hygiène

• Accès aux soins médicaux : si vous avez besoin de prestations de santé au Japon, vous devez les payer en intégralité sur place. Selon votre CPAM, vous pouvez demander un remboursement partiel ou total. Mais retenez que les frais médicaux peuvent être très élevés au Japon. C’est pourquoi vous pouvez considérer la souscription à une assurance voyage en cas de besoin. 
• Vaccins recommandés : aucun vaccin n’est obligatoire pour se rendre au Japon. Certains vaccins sont cependant conseillés, comme le préconise l’Institut Pasteur. 
• Règles de politesse de base : évitez de parler fort dans les transports en commun, de filmer directement les gens sans le consentement, enlevez vos chaussures quand vous entrez dans une maison ou un temple, ne donnez pas de pourboire, respectez votre tour dans les files d’attente, etc.

 

Gestion de la solitude

• Techniques pour rencontrer des gens : n’hésitez pas à sortir de votre zone de confort. Même si vous ne parlez pas le japonais, ne vous refusez pas le contact avec les locaux si vous le désirez. Il y a toujours un moyen de se faire comprendre avec les gestes, un sourire. Pour parler avec des Japonais, vous pouvez vous inscrire à des activités, des sorties culturelles en groupe. Vous pouvez tenter de discuter autour d’un verre dans un bar, ou en boîte de nuit. Comme dit plus haut, les auberges de jeunesse sont l’endroit propice pour rencontrer d’autres voyageurs.
• Rester en contact avec ses proches : procurez-vous une carte sim, e-sim ou un pocket WiFi pour avoir accès à Internet. Cela va vous permettre, en plus de pouvoir vous localiser, de garder le lien et de partager ses expériences de voyage avec ses proches.

Conclusion

Si vous êtes intéressé par le Japon, mais que vous hésitez à partir seul, foncez ! Que vous voyez un baroudeur, une voyageuse solo, ou quelqu’un qui aime prendre son temps, vous trouverez une formule de voyage qui vous convient. 

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Une fois arrivée sur le territoire japonais, d’autres frais en dehors de l’hébergement et de l’abonnement téléphonique entrent en jeu. La nourriture, les transports, les activités et les autres achats plaisirs. 

Il faut savoir que la valeur de la devise japonaise ne cesse de s’écrouler et a même atteint son niveau le plus bas jamais atteint depuis plus de 30 ans. Cette situation est particulièrement avantageuse pour les touristes venant notamment de pays avec une devise plus forte comme l’euro et évidemment le dollar. 

Je vous fais ci-dessous un petit récapitulatif des frais que j’ai engagés durant ce voyage.

Nourriture

 

C’est le poste de dépense le plus malléable car il est possible de très bien manger pour des sommes dérisoires. Vous pouvez même trouver de très bons restaurants sans vous ruiner. J’ai personnellement dépensé en moyenne 2000 yens par jour pour manger. Ce qui, dans les taux actuels, représente environ 11 euros. Avec cette somme, j’ai pu manger dans des restaurants, faire mes courses dans des supermarchés, profiter de stands dans des festivals, etc. 

Transports

 

Le budget transport varie selon vos déplacements au cours de votre voyage. Comme j’ai pas mal bougé dans et autour de Tokyo, j’ai dû dépenser environ 200 euros pour voyager en train, en bus ou en voiture quand j’ai fait une excursion avec un guide. J’avais une carte rechargeable SUICA avec laquelle je payais mes frais de transport. 

Activités

 

Là, c’est évidemment selon les envies et les loisirs de chacun. Cela peut être des dépenses liées à l’achat de souvenirs, de vêtements, de produits de beauté, d’électronique, de visites culturelles, etc.

Au total, pour 24 jours passés au Japon, j’en ai eu pour un budget total d’environ 2000 euros en comptant le billet d’avion. 

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C’est parti ! Je suis en route pour mon 5e voyage au Japon et pour la première fois complètement en solo. Je ne compte pas mon année universitaire, ou, même si, dans les faits, je suis aussi partie seule parce que ça s’apparente plus à une grande colonie de vacances où j’étais souvent avec mon groupe d’amis. 

Je pars pour 3 semaines et compte rester principalement à Tōkyō et ses alentours. Ce sera l’occasion pour moi de découvrir la capitale différemment et plus en profondeur. Je vais me motiver à écrire beaucoup d’articles sur les lieux et les événements à voir à Tōkyō fin avril mi-mai, donc tenez vous prêts !

Pour retracer mon (long) périple pour atteindre le Japon, je vais vous détailler mon itinéraire avec une idée précise sur les modalités, la durée et le coût de mon voyage. J’ai réussi, je pense, à minimiser autant que possible le coût financier du trajet, ce qui le rapproche de celui que l’on pouvait avoir avant la pandémie de coronavirus, même s’il tend à être plus long. Comme je suis seule, c’est aussi l’occasion parfaite pour tester de nouvelles compagnies aériennes et des hébergements plus économiques, entre autres. 

J’ai quitté Bordeaux, le lundi 22 avril à 20h30, pour prendre un bus de nuit qui m’a amené directement à l’aéroport de Charles de Gaulle à 05h45 le mardi matin. Le choix du bus présentait plusieurs avantages pour moi qui devais prendre l’avion depuis Paris. Tout d’abord, évidemment, le prix, 40 euros, le trajet avec 2 bagages. Le bus était aussi plus pratique en termes de timing, car mon avion partait à 12h le mardi, et qu’il n’y a pas de train qui parte suffisamment tôt pour pouvoir le prendre. En prenant le train, j’aurais dû partir la veille et rester dormir chez de la famille en banlieue parisienne et me trimballer mes bagages en transport jusqu’à Charles de Gaulle. Y arriver directement m’épargne ces désagréments. D’un autre côté, c’est un très long trajet de 9h, et c’est toujours du temps perdu sur ses vacances. Il faut donc bien le prendre en compte. Moi, j’ai le temps, donc ce n’est pas un problème, mais n’hésitez pas à mettre un peu plus cher si vous en avez les moyens pour avoir un meilleur confort de voyage. 

Mon premier vol était à 12h25 en suivant. Je suis partie avec la compagnie aérienne China Southern Airlines. Je l’ai choisie, car les compagnies aériennes chinoises proposent des prix très compétitifs sur les destinations d’Asie, les ramenant à un prix quasi pré-COVID. Le billet d’avion aller-retour m’a coûté 665 euros pour la période avril-mai, ce qui est plutôt pas mal ! En faisant des recherches sur le net, on trouve des avis très divergents sur la qualité du service sur ces compagnies aériennes, allant en général, de correct à très médiocre. Pour ma part, pour l’instant, tout s’est bien passé. Il n’y a pas eu de retard à l’aller. Moi, qui ramène toujours trop d’affaires, j’avais peur que mon bagage cabine ne passe pas (il faisait plus de 8 kg), mais ils ne l’ont pas pesé, donc tant mieux pour moi ! Par contre, le site internet de la compagnie est catastrophique, c’est un parcours du combattant pour juste avoir accès à sa réservation, alors pour le check-in online… Impossible, j’ai dû le faire sur place. 

Une fois dans l’avion, les hôtesses ont été très gentilles et serviables avec moi. Elles étaient souriantes et ont même discuté un peu avec moi, donc rien à dire. Notre premier repas a été servi très vite après le décollage. Bon, en qualité, ce n’était pas exceptionnel, mais ça passait, un bon 6/10. Nous avions eu des nouilles chinoises au poulet (l’autre choix était du bœuf pommes de terre). Des boissons nous étaient proposées aussi très régulièrement. Nous avions aussi le kit de toilette de base avec une mini brosse à dent avec son dentifrice, un masque pour les yeux, des bouchons d’oreille, et un petit peigne, en plus de la couverture et de l’oreiller. Le vol s’est bien déroulé avec peu de turbulences. Il faut d’ailleurs noter que comme il s’agit d’une compagnie aérienne chinoise, elle peut survoler la Russie, donc le trajet Paris-Guangzhou était sensiblement plus rapide. 

Vers la fin du vol, nous étions servis avec le petit-déjeuner. Au choix, des œufs brouillés ou du porridge au poisson. Passable sans plus. 

Puis, nous avons atterri tranquillement à l’aéroport de Guangzhou pour mon escale.  

Encore une fois, une longue pause de 8h. Préservez vous en si vous le pouvez. Moi, ça me permet de prendre mon temps et de commencer la rédaction de ce présent article. Si votre escale est suffisamment longue, vous pouvez sortir de l’aéroport en remplissant un document que l’on vous remet à bord de l’avion. Je suis pour ma part restée au sein de l’aéroport, donc je ne pourrai pas vous en dire davantage. Mais dormir sur place une nuit et visiter la ville peut être une option envisageable si vous devez rester attendre longtemps entre 2 avions.

L’aéroport de Guangzhou est de taille correcte, sans être énorme non plus. Il y a tout ce qu’il faut si vous souhaitez vous restaurer, faire de petites emplettes ou ramener un souvenir. Par contre, impossible de se connecter au WiFi gratuit de l’aéroport plus de 2 secondes. Il y avait la méthode de l’envoi de SMS que je n’ai pas essayée, mais pas envie de me prendre un hors forfait, juste avoir accès à Internet quelques instants. J’attendrai d’arriver à Tōkyō. Je me suis prise pour grignoter une petite barquette de sushi/maki au Family Mart avec un thé glacé, j’en ai eu pour 18 yuans, soit 2,30 euros. Puis à 14h, direction hall d’embarquement 151 pour rejoindre enfin Tōkyō ! Le second vol s’est aussi bien déroulé dans l’ensemble, avec juste quelques petites turbulences. Au milieu du trajet, un repas nous a été servi avec au choix du riz avec du poulet ou du poisson. Cette fin de voyage a été plus compliquée à gérer pour moi au niveau de la fatigue. Ayant très peu dormi depuis presque 2 jours, je n’ai cessé de piquer du nez sans pour autant pouvoir dormir d’une seule traite. Après 4 heures de vol, me voilà enfin arrivée à Tōkyō !

En sortant, vous devez remplir les papiers pour l’immigration en renseignant la durée, la raison de votre séjour, et votre adresse (vous pouvez mettre la première adresse où vous restez si vous en avez plusieurs) et pour la douane, où vous devez déclarer certains types de biens que vous amenez au Japon. Un personnel de la douane peut d’ailleurs aléatoirement décider de contrôler votre bagage avant de vous permettre de partir.

Une fois libéré, vous pouvez accéder au centre de Tōkyō depuis Haneda par plusieurs moyens de transport. Pareil si vous atterrissez à l’aéroport de Narita.

À partir, vous pouvez récupérer votre pocket WiFi ou activer votre eSim achetée au préalable en se connectant au WiFi gratuit de l’aéroport. Si vous ne l’avez pas encore, je ne peux que vous conseiller de prendre une IC card. Cette carte va vous permettre d’effectuer des paiements comme les frais de transport, les courses au konbini ou une boisson dans un distributeur automatique. 

Malheureusement, à cause d’une pénurie de puces, les cartes IC Suica et Pasmo ne sont plus disponibles à la vente (sauf apparemment dans de très rares points de vente : j’ai perdu ma carte Suica et l’agent aux objets trouvés m’a dit que je pouvais en acheter à la gare de Tōkyō). Il y a en alternative la carte provisoire à destination des touristes Welcome Suica qui n’est valable que pour 28 jours (contrairement aux 10 ans sans réactivation pour la carte normale). L’argent chargé sur la Welcome Suica n’est pas récupérable non plus, donc assurez-vous de dépenser tout ce qu’il vous reste sur la carte avant de quitter le Japon.

Pour ma part, après une bonne heure de transport, j’ai rejoint mon hôtel à Asakusa. Sous la pluie…

Une petite chambre dans un hôtel type guest house avec salle de bain et WC communs pour un tarif très abordable. 538 euros pour 24 nuits, soit un coût ramené à 22,4 euros la nuit.

Après une bonne nuit de repos bien méritée, je peux commencer mon escapade au Japon, ce pays si fascinant ! 

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